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Tinder dejt u Zagrebu: Našla se s 4 frajera, u 4 različita kafića - zanima vas kako je završilo? - Géographie administrative La Croatie est une république unitaire.

Administration Forme de l'État 45°48' - 45°49' N, 15°57' - 15°58' E Géographie , , , et 56 594 Superficie en eau 31 067 km 2 +1 Histoire de la Démographie Croate 1 er janvier 2017 4 154 213 hab. Elle est entourée par la , la , la , la et le. Sa capitale est et elle est depuis le , de l' depuis 2000 et de l' depuis 2009. La Croatie fut, tout au long de son histoire, au carrefour de quatre grands espaces culturels, ce qui confère une richesse à son patrimoine, tant architectural qu'artistique. Outre le caractère de ses habitants qui remonte à la fin du , la Croatie a subi les influences sur la d'une part, et les influences dans les plaines du Nord de et dans le bassin du d'autre part. Cet héritage vient se superposer à celui préroman — et — plus diffus mais auquel elle doit sa tradition. Le voisinage immédiat de l', du XV e au , dont l'expansion s'est arrêtée en terre croate, a également eu son importance. Premier peuple slave christianisé, dès le début du VII e siècle, les Croates sont encore aujourd'hui très majoritairement de confession. La Croatie contemporaine est également l'héritière du , d'abord indépendant puis associé en à la couronne hongroise puis intégré, en 1527, aux , devenues l' de 1867 à 1918. Au début du , la province côtière de devint vénitienne pour quatre siècles, puis française de 1809 à 1814, au sein des qui mirent fin à la. Les aspirèrent à la formation d'un , dans le cadre de la monarchie austro-hongroise, mais l'accord austro-hongrois de laissa le à l', tandis que le demeura en union personnelle avec la , relation spécifique respectant les subjectivités politiques des deux royaumes, et comparable au lien unissant l'Écosse et l'Angleterre. La côte adriatique a longtemps été peuplée de colons italiens qui érigeront des villes en républiques indépendantes avant de se soumettre à Venise. Néanmoins ces resteront principalement sur les côtes s'aventurant peu à l'intérieur des terres peuplées de. Si les Croates ont toujours lutté, depuis la fin du XI e siècle, pour conserver leur autonomie, le sentiment et s'y développa à partir des années 1830. Le XX e siècle voit, pour la première fois, la Croatie unie à ses voisins slaves. De 1918 à 1941, c'est sous la forme d'un royaume centralisé sous le sceptre d'une dynastie serbe, au sein du , renommé le. En 1941, après l' par les forces de l', l' — État satellite de l' et de l' — est mis en place par les envahisseurs et confié au mouvement indépendantiste et fasciste des , dirigés par. Les collaborateurs mettent en place une des populations et et des résistants antifascistes croates, qui causa des dizaines de milliers de morts. Par rapport à la Croatie actuelle, cet État était amputé d'une partie de la Dalmatie et de l' annexées par l'Italie , mais englobait la quasi-totalité de la. Parallèlement, et à la suite de l', a été mis en place un ZAVNOH. Véritable gouvernement de la « Croatie libre » contrôlant de vastes portions de l', il rassemble la résistance croate au sein des de. Avec les partisans de Bosnie-Herzégovine, réunissant sept divisions, les partisans croates constituent dès 1943 la force principale de la résistance yougoslave, en comptant plus de 100 000 hommes répartis en onze divisions, sur un effectif total de 300 000 partisans yougoslaves organisés en 26 divisions. De ce fait, la Croatie est libérée en 1945 sans intervention alliée par les seuls partisans, contrairement aux régions orientales de la Yougoslavie , , où les partisans reçoivent l'appui de l'. Dès novembre 1943, les partisans annoncent leur projet de mettre en place une nouvelle Yougoslavie qui serait fédérale. La devient un État fédéré au sein de la de à , puis de la de 1963 à , composées de six républiques. Dans la foulée de la et de l', les sont organisées en avril-mai 1990. Elles voient la défaite du et la victoire de l', emmenée par l'ancien résistant et dissident. À partir d'août 1990, une rébellion armée conduite par des miliciens séparatistes serbes éclate dans des régions croates à forte minorité serbe : de vastes zones du territoire croate sont soustraites au contrôle des autorités croates, avec l'appui de l'armée yougoslave qui s'interpose en protégeant les insurgés, qu'elle encadre et fournit en armes et munitions. Une « République serbe de Krajina » est proclamée le 16 mars 1991 sur près d'un tiers du territoire croate, et son rattachement illégal à la Serbie est proclamé le 1 er avril 1991. Après le choc du de douze policiers croates victimes d'une embuscade à , le 2 mai 1991, puis du refus de la Serbie, le 15 mai suivant, de céder la présidence tournante yougoslave au représentant de la Croatie, le divorce est consommé, et c'est sans surprise que le 19 mai 1991 plus de 94 % des Croates se prononcent par référendum en faveur de la transformation de la Yougoslavie en confédération d'États souverains proposition slovéno-croate , ou, en cas de refus de , de l'indépendance pure et simple de la Croatie. Belgrade ayant rapidement rejeté toute proposition visant à démocratiser la fédération yougoslave, le la Croatie est amenée, tout comme la , à déclarer son indépendance. Le gouvernement fédéral yougoslave ne reconnut pas cette déclaration et, au nom de la préservation de l'État fédéral et de la minorité serbe de Croatie, mena une guerre avec l'armée yougoslave 4 e armée européenne et des groupes paramilitaires serbes. La Croatie fut reconnue internationalement le. La nouvelle armée croate mena des opérations contre les forces de la soutenues par l' JNA , notamment en 1995, les Operacija Bljesak en occidentale et l' Operacija Oluja pour reconquérir la. Ces opérations se sont accompagnées de l'exode de 120 000 Serbes, principalement vers la et la , provoqué par l'évacuation forcée de la population civile ordonnée par les responsables séparatistes serbes. La Slavonie orientale et la occidentale furent rendues pacifiquement à la souveraineté croate, en. L'élection du modéré , en 2000, à la suite du décès de qui avait dirigé le pays au cours des dix années précédentes, a constitué un tournant politique et économique majeur. Le pays s'est démocratisé et s'est ouvert sur l' ; les auteurs d'exactions pendant les conflits militaires ont été poursuivis. Le pays a mené une politique de privatisations et s'est ouvert aux investisseurs étrangers. Cela s'est fait, toutefois, avec de fortes résistances internes du fait de la présence de nationalistes extrémistes dans certaines structures de l'appareil d'État défense et dans certaines régions. La Croatie s'est officiellement déclarée candidate, le , à l'adhésion à l' et le statut d'État candidat lui a été reconnu officiellement lors du des 17 — 18 juin 2004. L'ouverture des négociations d'adhésion avait, toutefois, été retardée jusqu'au du fait de la coopération jugée insuffisante de la Croatie, avec le TPIY , en ce qui concerne l'arrestation de l'ancien général finalement arrêté en , pour en fin de compte être acquitté en appel en 2012. Le pays a rejoint l' dès 2009, soit seulement onze ans après le départ du dernier de. La Croatie est une république parlementaire, démocratique et multi-partite. Elle a déjà connu trois alternances depuis son indépendance, même si la décennie — a été dominée par l' HDZ et. La déclaration d' a eu lieu en. Le Predsjednik est le chef de l'État ; il est également le et il a le devoir de désigner le le « Premier ministre » avec l'accord du Parlement. Il a également une certaine influence sur la politique étrangère. Le président de la République est élu au suffrage universel direct pour un mandat de cinq ans, renouvelable une fois. Le Parlement croate, la Sabor est un composé de 153 députés 140 élus dans dix circonscriptions, 10 par les minorités ethniques, 3 par la diaspora élus pour une législature de quatre ans. Les sessions ordinaires se déroulent du 15 janvier au 15 juillet et du 15 septembre au 15 décembre. Le Vlada est dirigé par le président du gouvernement couramment qualifié de « Premier ministre » dans les médias croates et étrangers et se compose de vice-présidents et de ministres en nombre variable. Le pouvoir exécutif a la charge de proposer des lois et un budget, de veiller à l'application des lois et de guider la politique intérieure et étrangère. En , le social-démocrate devient président du gouvernement, tandis que est élu président de la République, ce qui marque la première véritable alternance. Bien que la HDZ revienne au pouvoir dès , le virage pro-européen pris par son président, , marque une nouvelle alternance. Lors de l', a été réélu au second tour pour un second mandat présidentiel face à avec plus de 60 % des suffrages. Celle-ci a succédé à Ivo Sanader à la tête du gouvernement en 2009. La Croatie a obtenu, le 17 juin 2004, le statut de candidat à l' et le Conseil de l'Union européenne a reconnu, le 3 octobre 2005, qu'elle remplissait l'ensemble des conditions pour lancer les négociations d'adhésion. Ceci n'a été possible qu'après que le gouvernement croate a accepté de mieux coopérer avec le. La Croatie est également membre de l'. Elle a par ailleurs obtenu au Sommet de Ouagadougou en novembre 2004 le statut d'observateur au sein de l', malgré le faible nombre de personnes parlant le. Le , la Croatie entreprend une. Les résultats sont connus le , remporte le second tour avec 60,29 % des voix, contre le maire de , 39,71 %. Environ deux ans plus tard, aux , une alliance de centre-gauche conduite par le SDP remporte la majorité absolue des sièges, permettant la nomination de comme président du gouvernement. L'élection présidentielle croate de 2014 — 2015 s'est déroulée les 28 décembre 2014 et 11 janvier 2015. Au premier tour, le président sortant Ivo Josipović obtient 38,56 % des suffrages contre 37,08 % à , ancienne ministre des Affaires étrangères. Au second tour, est élue avec 50,4 % des voix contre 49,6 % à Ivo Josipović. Adhésion à l'Union européenne Article détaillé :. Après la clôture de ses négociations d'adhésion à l'UE, le 30 juin 2011, le du 22 janvier 2012 a donné le feu vert à l'intégration dans l'Union européenne. Le , que la Croatie et l'UE ont signé en décembre 2011, fut approuvé par le et ratifié par chacun des vingt-sept États membres et par le , entérinant son adhésion à l'Union européenne, qu'elle intègre officiellement le 1 er juillet 2013. Quant à son adoption de l', si elle est prévue, aucune date n'a encore été fixée. Le , qui a duré dix ans, a abouti le , faisant de la Croatie le 28 e , marquant une étape importante pour ce pays dont le représente 61 % de la moyenne du continent , lui ouvrant la voie au et la poussant à renforcer ses exportations et son attractivité. Carte des îles de Croatie. La Croatie a une forme particulière qui ressemble à un croissant ou un , ce qui explique qu'elle ait des frontières avec de nombreux pays : la , la , la , la , le , et une frontière maritime avec l' dans la. Le bout de son territoire continental est divisé en deux parties non contiguës par le port de en. Il y a plusieurs en Croatie. La partie nord-est du pays est de alors que le climat du littoral est de type , et que celui de la partie centrale et sud-est. Le pays contient huit : trois en zone montagneuse , , et cinq en zone côtière Brioni , , , , représentant une superficie de 79 320 hectares, soit 7,5 % du pays avec comme projet de doubler l'étendue des espaces protégés dans le cadre de parcs nationaux ou d'autres régimes de protection de l'environnement. La côte croate est très découpée si bien que la Croatie compte 698 , 389 et 78. Parmi les lacs de Croatie, et les sont remarquables. Le sommet le plus élevé en Croatie est le pic de , culminant à 1 830 mètres d'altitude. Géographie administrative La Croatie est une république unitaire. L'organisation territoriale du pays comprend deux niveaux. Le premier est constitué par 21 Županija , le second par les collectivités territoriales ou 423 municipalités ou communes et 123 villes. Décentralisation et autonomie locale Aux termes de l'article 4 de la Constitution, l'exercice des pouvoirs de l'État se trouve limité par l'autonomie accordée aux collectivités territoriales et régionales, définie au titre VI de la Constitution. En outre, à chaque niveau d'organisation territoriale municipalité, villes, županije correspond un transfert de compétences de l'État vers le type de collectivité considérée, régi par la Loi sur l'autonomie locale du. Membre du , la Croatie est aussi signataire depuis de la laquelle vise à garantir l'autonomie des collectivités territoriales. Les citoyens peuvent également prendre une part active dans les affaires de la collectivité locale par le biais de référendums locaux. Comitats županije Article détaillé :. Le comitat ou Županija est caractérisé par un territoire qui se veut le reflet d'une unité géographique, historique, économique, défini dans l'intention de favoriser le développement coordonné de la région dans son ensemble. La capitale, , constitue à elle seule une županija. De manière analogue au rôle rempli par le conseil municipal à l'échelon inférieur, l'assemblée régionale Županijska skupstina , élue pour quatre ans, constitue l'assemblée représentative de la županija et règle par ses délibérations les affaires de celle-ci. L'assemblée régionale, composée d'un nombre impair de membres, compte de 31 à 51 membres. Son président, élu parmi les conseillers régionaux, est secondé par deux vice-présidents. Au moins une fois par trimestre, le président predsjednik Županijske skupstine convoque les sessions de l'Assemblée régionale, qu'il préside et représente. Ses autres prérogatives sont fixées par l'Assemblée régionale. Municipalités communes et villes Articles détaillés : et. Les municipalités ou communes, au nombre de 423, comprennent généralement plusieurs localités habitées, dont le nombre sur l'ensemble du territoire croate s'élève à quelque 6 700. Elles comptent au maximum 30 000 habitants. Le statut de ville est attribué aux chefs-lieux des županije, aux agglomérations de plus de 10 000 habitants et, à titre exceptionnel, aux cités qui peuvent y prétendre pour des raisons historiques, économiques, urbanistiques, etc. De statut comparable, les communes et les villes sont des municipalités. Conseils municipaux Le conseil municipal est, aussi bien dans le cadre de la commune opcinsko vijece que dans celui de la ville gradsko vijece , l'assemblée représentative de la municipalité qui règle par ses délibérations les affaires de celle-ci. Son président, élu parmi les conseillers municipaux, est secondé par deux vice-présidents. Les autres prérogatives du président sont fixées par le conseil municipal. Dans les municipalités de moins de 3 000 habitants, les fonctions relevant de l'exécutif municipal sont remplies par le Conseil municipal tandis que le président du conseil municipal exerce la fonction de maire. Autrement dit, une même personne exerce alors les fonctions de président du conseil municipal et de maire. En revanche, les communes de plus de 3 000 habitants, ainsi que les villes, disposent généralement d'un exécutif municipal propre Poglavarstvo dont les membres, élus par le conseil municipal parmi ses membres, renoncent alors à leur mandat de conseillers municipaux cette fonction étant incompatible avec l'appartenance à l'instance exécutive locale. Le maire, élu par le conseil municipal est, quant à lui, traditionnellement choisi parmi les têtes de liste des partis représentés. Il préside l'exécutif municipal, composé de membres également élus pour quatre ans. Toutefois, dans les communes de 3 001 à 10 000 habitants, le conseil municipal a la possibilité de s'investir du droit d'exercer les fonctions d'exécutif municipal, en l'inscrivant dans le Statut municipal. Transports Articles détaillés : et. Le processus de transition d'un système d' vers une a commencé à la fin des années 1980, mais la désindustrialisation et les dommages dus à la guerre d'indépendance ont ralenti cette mutation. Les privatisations commencées pendant la guerre d'indépendance ont été entachées de scandales politico-financiers. Le pays s'est engagé dans un vaste programme de reconstruction mené par le gouvernement : depuis , la moitié du parc immobilier détruit a été rebâtie quasiment sans aide internationale, tandis que la croissance du a atteint une moyenne de 6 %, et l'inflation annuelle moyenne sur cinq ans demeure inférieure à 4 %. Depuis la fin de la guerre, le pays connaît une assez rapide. La situation macro-économique de la Croatie est plutôt bonne, avec une inflation contenue estimation 2005 : 3,3 % et une croissance assez soutenue 2005 : 4 % , mais depuis 2009 suivie de quatre années de récession prévision 2013 croissance négative -1%. Le déficit public est important 2004 : 4,2 %, 2005 : 3,7 %, 2012 : 4,3 %. La Croatie a conclu en août 2004 un accord avec le FMI, lui accordant un prêt de 140 millions d'euros, sous réserve d'une réduction sensible du déficit budgétaire consolidé et d'une stabilisation de l'endettement externe. Il devrait être prolongé. La monnaie est la. Les échanges extérieurs sont fortement déséquilibrés, le taux de couverture des importations n'étant que de 43 %. Les revenus engendrés par l'industrie du tourisme 17 % du PIB compensent en partie le déficit de la balance commerciale. La balance des paiements croate est caractéristique de celle d'un pays en transition. La balance commerciale est très déficitaire mais le déficit des paiements courants n'est que de 5 % grâce à l'importance des revenus touristiques officiellement le tourisme représente 25 % du PIB. La Croatie a une économie principalement fondée sur les services et un peu sur l'industrie légère. Le problème économique principal est un structurel important 19 % en 2012. La poursuite des réformes structurelles est programmée. La BERD, la BEI et la Banque mondiale jouent un rôle essentiel dans le financement des projets et des entreprises. La population de la Croatie est en lente diminution depuis la dernière décennie de 4,3 millions d'habitants en 2007 à 4,1 millions en 2017. L' moyenne est d'environ 75 ans hommes : 71,8 ans, femmes : 78,8 ans, en et le est de 98,5 %, ce qui est assez élevé. Au dernier recensement 2011 , la Croatie était peuplée de 4 284 889 habitants. La Croatie est habitée principalement par les 89,6 %. Il y a également une vingtaine de minorités, dont la plus grande sont les 4,5 % de nos jours, 12 % avant guerre, selon le recensement de 1991 , tandis que les autres ont moins de 0,5 % chacune. La religion principale est le 87,8 %. Il y a aussi des minorités 4,4 % et musulmanes 1,3 %. Toutes les autres religions ensemble couvrent moins de 1 % de la population. La langue officielle — et la plus courante — est le , une , qui utilise l' étendu par quelques. Moins de 5 % de la population utilise une autre langue comme langue maternelle. La langue officielle de la Croatie est le qui est une langue du groupe méridional des , de la famille des. Même si les linguistes utilisent le terme de peu à peu remplacé par pour définir la langue parlée en Croatie, en , en et au , officiellement le serbo-croate n'existe plus, chaque pays nommant sa langue , , ou. Il n'y a pas d' entre ces langues les locuteurs se comprennent, sans faire appel à un traducteur dans la plupart des cas , leur définition est historique et politique. En revanche, il y a des différences de lexique certains mots environ 10% selon les langues , certaines conjugaisons ou déclinaisons varient et une différence d'alphabet : il est en Croatie et dans la , tandis qu'en Serbie, au Monténégro et dans la cohabitent les alphabets et latin. L' est beaucoup parlé par les plus jeunes, surtout dans les secteurs du tourisme et du commerce, et l' est tout aussi présent, surtout vers la côte dalmate où il est même la langue officielle de quelques municipalité à égalité avec le croate, mais aussi dans le reste du pays. Pour des raisons historiques, l' est aussi parlé la Croatie est une ancienne région de la monarchie austro-hongroise, et aussi l'allemand est une langue pratiquée par une partie de la diaspora croate qui travaille en Allemagne, et en Autriche. Le , lui, est parlé dans les régions de l'Est de la Croatie. Avec l'accueil chaque année de 12 millions de touristes, soit trois fois sa population, faisant de la Croatie la 6 e destination de la Méditerranée, les revenus du tourisme représentent environ un tiers des exportations de biens et services, soit 15 % du PIB. Toutefois leur potentiel de développement reste limité, même si des travaux de rénovation de l'infrastructure hôtelière sont en cours. Ensuite, l'industrie manque de compétitivité en raison de niveaux salariaux qui demeurent supérieurs à la moyenne dans les pays comparables et sont élevés par rapport à la productivité. », analyse de l' ONDD , , 30 juin 2013.